Derrière un titre...

Derrière un titre, il y a parfois des révélations édifiantes...

Exemple:

Titre d'une dépêche euronews parue à 21h53:"Trois Britanniques reconnus coupables d'avoir projeté des attentats avec des explosifs liquides"

Mais devinez un peu la confession des trois "britanniques" en question ??? Oui, c'est bien cela, vous avez gagné...

Un autre exemple de manipulation journalistique, qui remonte à quelques années: un journal avait fait un gros titre sur les fraudeurs des transports en commun; et en illustration, un petit vieux bien blanc en train de sauter une barrière (sans doute en panne...)

Mickaelus a écrit:

Oui, c'est le coup classique, la passion des "occidentaux" comme on dit, à vouloir se voiler la face - ce sera bientôt le cas de le dire - jusqu'à en mourir (un peu comme lors de la montée en puissance d'Hitler avant la Seconde guerre mondiale). Alors, on atténue les informations dans les titres, on invente des concepts douteux et surtout foireux comme "islam et islamisme" qui ne seraient pas du tout la même chose, etc. Tout cela pour tenter de justifier sa lâcheté et son amour de la tolérance, ce dernier n'étant que la manifestation extrême d'une civilisation à l'agonie n'ayant plus aucune vitalité ni aucun amour-propre. Car quand on en est rendu à pouvoir qualifier un musulman de britannique, de français ou autre, qu'il soit terroriste ou pas, la messe est bientôt dite.

A ce propos, il y avait une émission TV hier à 18h00 sur France 5 (C'est dans l'air). Ce genre d'émission vaut son pesant d'or en matière de lâcheté. Le sujet traitait de la venue du Saint Père Benoît XVI en France.
Alors vient évidemment au fur et à mesure que l'emission se developpe les questions identitaires, culturelles, spirituelles, les racines Chrétiennes de l'occident, la dechristianisation, la montée en puissance de l'islam sur notre continent. Toutes ces questions sont traitées à une vitesse folle et en "surface seulement" (cette lâcheté et cette mauvaise foi républicaine est impressionante)...
Ce genre d'emission nous fait croire que l'on peut parler de tous les sujets sans tabous, alors qu'il est évident que l'on évite soigneusement de poser les vraies questions, celles qui fâchent...