Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
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Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Vous vous enfoncez à force de vouloir avoir raison.
Louis XVI n'a jamais été un "roi constitutionnel" de son plein gré, mais le prisonnier de la Révolution qui lui a imposé ce statut : prétendre le contraire est une infamie et une complicité révolutionnaire.
Le comte de Chambord n'a pas accepté de régner avec le drapeau de la Révolution, contrairement à d'autres. Il ne souhaitait pas continuer la Révolution mais conserver des restructurations sociales qui auraient pu être faites par Louis XVI sans les Parlements de privilégiés, comme l'égalité devant l'impôt. Tout ce qui a pu être fait de bien après la monarchie n'est pas à proprement parler républicain ou révolutionnaire.
Là encore, vos insinuations perverses puent l'orléanisme.
Louis XVI n'a jamais été un "roi constitutionnel" de son plein gré, mais le prisonnier de la Révolution qui lui a imposé ce statut : prétendre le contraire est une infamie et une complicité révolutionnaire.
Le comte de Chambord n'a pas accepté de régner avec le drapeau de la Révolution, contrairement à d'autres. Il ne souhaitait pas continuer la Révolution mais conserver des restructurations sociales qui auraient pu être faites par Louis XVI sans les Parlements de privilégiés, comme l'égalité devant l'impôt. Tout ce qui a pu être fait de bien après la monarchie n'est pas à proprement parler républicain ou révolutionnaire.
Là encore, vos insinuations perverses puent l'orléanisme.
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Et bien Louis XVI n'avait qu'à abdiquer pour éviter d'être roi constitutionnel.
«Jamais Louis XVI n'avait été aussi proche de la Révolution qu'en fuyant la capitale. Sur la route de Varennes, il était devenu un souverain constitutionnel, à la recherche, hélas, d'une impossible Constitution»
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Le comte de Chambord voulait continuer les réformes entreprises par la révolution (conservée par la charte). Donc selon vous, Louis XVIII et Charles X ne sont pas légitimes (ce qui peut se défendre, puisque je pense que la légitimité est morte le 21 janvier 1793).
Arrêtez de diviser le monde entre légitimisme et orléanisme, idéologies du XIXème siècle (légitimisme classé à l'extrême droite soit dit au passage.)
Philosophiquement, je ne suis pas orléaniste.
«Jamais Louis XVI n'avait été aussi proche de la Révolution qu'en fuyant la capitale. Sur la route de Varennes, il était devenu un souverain constitutionnel, à la recherche, hélas, d'une impossible Constitution»
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Le comte de Chambord voulait continuer les réformes entreprises par la révolution (conservée par la charte). Donc selon vous, Louis XVIII et Charles X ne sont pas légitimes (ce qui peut se défendre, puisque je pense que la légitimité est morte le 21 janvier 1793).
Arrêtez de diviser le monde entre légitimisme et orléanisme, idéologies du XIXème siècle (légitimisme classé à l'extrême droite soit dit au passage.)
Philosophiquement, je ne suis pas orléaniste.
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Allons, rien ne sert de tomber dans la caricature et la provocation sournoise, cela ne vous mènera nulle part.
Évidemment, cela aurait bien arrangé l'ancêtre de vos Orléans, Philippe-Égalité, qui se voyait déjà roi constitutionnel à la place de son cousin.
Les mots datent effectivement du XIXe siècle, mais pas les idées qu'ils définissent, qui valent toujours aujourd'hui. Et quant à l'"extrême droite", j'assume parfaitement d'être un ultraroyaliste ; c'est la civilisation française qui est d'extrême droite selon les critères actuels, et cela ne m'empêchera pas de la défendre, contrairement aux "royalistes" qui veulent un roi de la république. Quant au reste, même réponse que sur l'autre sujet :
Courage, assumez ce à quoi vous adhérez, même si ce n'est pas toujours très reluisant j'en conviens ! Le "royaliste parce que nationaliste" de l'Action Française vous va comme un gant, c'est un fait. A qui douterait de votre affinité philosophique et politique avec l'orléanisme, je propose de relire ces deux sujets : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Du reste, on en trouve encore témoignage dans ce message puisque le mensonge et la diffamation sont des constantes de l'orléaniste...Philosophiquement, je ne suis pas orléaniste.
Je trouve qu'il est vraiment honteux d'écrire de telles choses, à moins que vous ne vous rendiez pas même compte de ce que cela implique, ce dont je doute. Vous savez très bien, d'une part, que le roi de France ne peut pas abdiquer, quelle conscience avait Louis XVI de l'importance de son héritage, et que, d'autre part, sa vie était en danger dès le début de la Révolution dont il était le prisonnier politique. Comme s'il était libre de ses faits et gestes, franchement...Et bien Louis XVI n'avait qu'à abdiquer pour éviter d'être roi constitutionnel.
Évidemment, cela aurait bien arrangé l'ancêtre de vos Orléans, Philippe-Égalité, qui se voyait déjà roi constitutionnel à la place de son cousin.
Si vous prenez vos cours d'histoire dans Le Figaro désormais, nous voilà bien avancés ! Il est tellement évident que si Louis XVI avait voulu être le pantin de la Révolution, on n'aurait pas eu besoin de l'exécuter. Jamais il n'aurait de lui-même souscrit à ce mouvement, sans la Révolution. Je vous rappelle cette lettre que je vous avais déjà cité, et qui me semble plus crédible.«Jamais Louis XVI n'avait été aussi proche de la Révolution qu'en fuyant la capitale. Sur la route de Varennes, il était devenu un souverain constitutionnel, à la recherche, hélas, d'une impossible Constitution»
Lettre de Louis XVI au roi d'Espagne en date du 12 octobre 1789 :
« Je me dois à moi-même, je me dois à mes enfants, je me dois à ma famille et à toute ma maison de ne pouvoir laisser avilir entre mes mains la dignité royale qu'une longue suite de siècles a confirmée dans ma dynastie... J'ai choisi Votre Majesté, comme chef de la seconde branche, pour déposer en vos mains la protestation solennelle que j'élève contre tous les actes contraires à l'autorité royale qui m'ont été arrachés par la force depuis le 15 juillet de cette année, et, en même temps, pour accomplir les promesses que j'ai faites par mes déclarations du 23 juin précédent, »
Évelyne Lever, Les dernières noces de la monarchie, Louis XVI, p. 365
Simple bravade caricaturale : on ne peut pas faire de la Charte de 1814 un texte purement et simplement "révolutionnaire". J'ai déjà ici distingué deux légitimismes : le contre-révolutionnaire qui est le meilleur, et le libéral qui est acceptable sous réserves seulement parce qu'il est dangereux institutionnellement (et qui puise son origine dans des penseurs comme Montesquieu en fait). C'était le point de vue de Joseph de Maistre sur cette Charte, et je ne vois pas que cela implique de nier la légitimité de Louis XVIII et de Charles X, qui étaient bien les aînés des Capétiens. Le concept d'assemblée nationale est dangereux techniquement mais ne remet pas en tant que tel en cause les principes fondamentaux de la civilisation française, tant que la souveraineté appartient encore clairement au roi de France : ce qu'a voulu confirmer Charles X en défendant la prérogative royale, avec les suites qu'on connaît. On ne pourra pas en dire autant de Louis-Philippe et de sa mise à jour de la Charte émanant d'un contrat avec le peuple, avec disparition de la religion catholique comme religion de l'État à la clé. Et on se doute bien que la légitimité est morte pour vous, ne vous en faites pas.Le comte de Chambord voulait continuer les réformes entreprises par la révolution (conservée par la charte). Donc selon vous, Louis XVIII et Charles X ne sont pas légitimes (ce qui peut se défendre, puisque je pense que la légitimité est morte le 21 janvier 1793).
Vous feriez mieux de cesser quant à vous d'user de l'impératif pour vous adresser à moi, cela pourrait me lasser.Arrêtez de diviser le monde entre légitimisme et orléanisme, idéologies du XIXème siècle (légitimisme classé à l'extrême droite soit dit au passage.)
Les mots datent effectivement du XIXe siècle, mais pas les idées qu'ils définissent, qui valent toujours aujourd'hui. Et quant à l'"extrême droite", j'assume parfaitement d'être un ultraroyaliste ; c'est la civilisation française qui est d'extrême droite selon les critères actuels, et cela ne m'empêchera pas de la défendre, contrairement aux "royalistes" qui veulent un roi de la république. Quant au reste, même réponse que sur l'autre sujet :
Rien à voir avec le XIXe, et vous le savez très bien. Il y a les royalistes qui veulent un roi de France, c'est-à-dire un roi qui règne selon les principes fondamentaux de la civilisation française ; et puis il y a les autres, ceux qui veulent un roi d'on ne sait quoi, des Français, de la République, etc. Les premiers sont les légitimistes dont je suis, les seconds les orléanistes et œcuméniques dont vous êtes.
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Nationalisme... Tout dépend ce qu'on entend par là. Au fond Maurras était assez impérial. Une France royale avec plusieurs républiques.
Nationalisme serait plus une nation avec tout le monde avait la même loi.
Louis XVI ne pouvait pas abdiquer de son titre "roi de France", mais comme roi des français oui. On aurait pu avoir un roi de France face à un roi des français (le duc d'Orléans, de York...), comme en 1830.
Dans son testament, il se qualifie de roi de France et non des français.
Nationalisme serait plus une nation avec tout le monde avait la même loi.
Louis XVI ne pouvait pas abdiquer de son titre "roi de France", mais comme roi des français oui. On aurait pu avoir un roi de France face à un roi des français (le duc d'Orléans, de York...), comme en 1830.
Dans son testament, il se qualifie de roi de France et non des français.
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Je pense que vous savez ce qui ne peut que gêner la pensée légitimiste face au nationalisme, puisque lorsqu'éclate la Révolution c'est le cri de "vive la nation", constituée en force rebelle et politique indépendante, qui fait chuter le roi. Le mot comporte cette ambiguïté qui sera à jamais indépassable. Pour le royalisme traditionnel, c'est le roi qui incarne l'unité des sujets ; avec le royalisme nationaliste, on voit bien que la nation préexiste et que le roi en est le sommet, mais optionnel (j'ai parlé de l'AF, mais c'est exactement le raisonnement du Renouveau Français également). On peut encore percevoir en Belgique aujourd'hui, par exemple, la tension entre les deux concepts, même si c'est sur un mode différent au vu de l'époque. Et puis c'est l'affaire de la source de la légitimité ; la lignée et Dieu pour nous - la nation est sujette, c'est tout, même si elle a sa vie et ses organisations locales et provinciales. Quant à avoir la même loi, c'est surtout la question de la centralisation, non ?
Concernant Louis XVI, je pense qu'il a mis quelques temps à perdre complètement confiance en son cher peuple. Il a sans doute imaginé pendant un moment qu'on finirait par voir qu'il ne lui voulait que du bien. En attendant, il était le prisonnier de fait de la Révolution, et il a assez tôt compris, tout de même, que sa vie et celle de sa famille étaient en danger. Ce pourquoi il a pu jouer la comédie quelques temps, le titre de roi des Français dont on l'a affublé de force ne l'engageant pas. Il n'était pas libre de se dédire, vous le savez très bien : rien qu'en essayant de partir à la frontière il a fini exécuté, alors s'il avait déclaré vouloir quitter son titre-prison, vous imaginez bien qu'on ne lui aurait pas offert un séjour en Angleterre ou une maison de campagne en Vendée...
Concernant Louis XVI, je pense qu'il a mis quelques temps à perdre complètement confiance en son cher peuple. Il a sans doute imaginé pendant un moment qu'on finirait par voir qu'il ne lui voulait que du bien. En attendant, il était le prisonnier de fait de la Révolution, et il a assez tôt compris, tout de même, que sa vie et celle de sa famille étaient en danger. Ce pourquoi il a pu jouer la comédie quelques temps, le titre de roi des Français dont on l'a affublé de force ne l'engageant pas. Il n'était pas libre de se dédire, vous le savez très bien : rien qu'en essayant de partir à la frontière il a fini exécuté, alors s'il avait déclaré vouloir quitter son titre-prison, vous imaginez bien qu'on ne lui aurait pas offert un séjour en Angleterre ou une maison de campagne en Vendée...
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Il est vrai que la séparation de la nation et du roi date de Louis XV, quand celui-ci remporta une guerre mais pas de victoires territoriales.
Si Louis XVI était à la tête des armées en 1792 et aurait été victorieux, sans doute, il aurait sans doute mis fin à la révolution française et onaurait retrouvé l'association roi/nation.
Charles X a un peu compris, en faisant des campagnes militaires en Grèce et surtout en Algérie. Hélas, cela n'a pas marché.
Une des causes de la chute de Louis-Philippe était son refus de rentrer en guerre contre les Habsbourg, ce que voulaient la gauche.
Et notez que depuis chaque guerre perdue, le régime (Second Empire, IIIème république IVème ont chuté.
La victoire de 1918 a permis la légitimité de la république, si on avait perdu une guerre, elle aurait été morte et on aurait fait appel à un roi.
Pour Maurras, le nationalisme intégral poussait vers le royalisme, car ce sont les rois qui ont fait et protéger la France.
Le concept de nation n'est pas révolutionnaire, celle-ci défigura ce concept naturel pour le pervertir à ses fins. La nation a été remplacé voir absorbé par la république.
Si Louis XVI était à la tête des armées en 1792 et aurait été victorieux, sans doute, il aurait sans doute mis fin à la révolution française et onaurait retrouvé l'association roi/nation.
Charles X a un peu compris, en faisant des campagnes militaires en Grèce et surtout en Algérie. Hélas, cela n'a pas marché.
Une des causes de la chute de Louis-Philippe était son refus de rentrer en guerre contre les Habsbourg, ce que voulaient la gauche.
Et notez que depuis chaque guerre perdue, le régime (Second Empire, IIIème république IVème ont chuté.
La victoire de 1918 a permis la légitimité de la république, si on avait perdu une guerre, elle aurait été morte et on aurait fait appel à un roi.
Pour Maurras, le nationalisme intégral poussait vers le royalisme, car ce sont les rois qui ont fait et protéger la France.
Le concept de nation n'est pas révolutionnaire, celle-ci défigura ce concept naturel pour le pervertir à ses fins. La nation a été remplacé voir absorbé par la république.
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
On se doute bien que la nation n'est pas une notion à proprement parler révolutionnaire (même si j'aime autant parler de patrie ou des patries, unifiées par le roi), mais c'est bien de nationalisme dont je parlais, qui ajoute un -isme et donc une idéologie contre la prééminence de la souveraineté royale et de la lignée (dont vous abusez vous-mêmes en matière dynastique comme vous savez). La terminologie contre-révolutionnaire ne comprend pas ce mot, et pour cause : Bonald et Maistre savaient bien compris ce qu'il recouvrait. Cela dépasse bien le cas particulier de Maurras. Si son diagnostic était juste, mais le fait est que pour beaucoup de nationalistes déclarés encore aujourd'hui, si les rois ont fait la nation, celle-ci n'aurait pas besoin d'eux pour se survivre dès lors qu'elle était achevée et constituée en force politique autonome. Un constat vicié mais malheureusement toujours revendiqué, qui fait que je ne me réclamerai jamais de cette école personnellement.
Quant à Louis XVI, je ne vois pas bien comment il aurait pu mettre fin à la Révolution en menant une guerre au nom des valeurs révolutionnaires contre les monarchies sœurs européennes. Si les Français ont supporté un temps l'absolutisme de Napoléon, c'est parce qu'il gouvernait au nom des valeurs de la république. Louis XVI n'aurait pas pu reprendre la main sans une armée contre-révolutionnaire, c'est une évidence.
Quant à Louis XVI, je ne vois pas bien comment il aurait pu mettre fin à la Révolution en menant une guerre au nom des valeurs révolutionnaires contre les monarchies sœurs européennes. Si les Français ont supporté un temps l'absolutisme de Napoléon, c'est parce qu'il gouvernait au nom des valeurs de la république. Louis XVI n'aurait pas pu reprendre la main sans une armée contre-révolutionnaire, c'est une évidence.
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Alors être royaliste est ce être idéologue?
"[la nation est] est une âme générale qui doit, à travers les siècles et un nombre infini de générations, subsister d'une manière sensible" Joseph de Maistre.
"Aucune nation n'est destinée par la nature à être sujette d'une autre". Joseph de Maistre.
Louis XVI aurait été vu comme un roi-chevalier et vainqueur, un chef incontesté, ce qui aurait pu mettre à la révolution.
Pensez vous que Napoléon Ier régna avec des idées révolutionnairs ou malgré ces idées?
S'il suffisait de gouverner seulement avec les idées révolutionnaires, ils n'auraient certainement pas fait son sacre.
"[la nation est] est une âme générale qui doit, à travers les siècles et un nombre infini de générations, subsister d'une manière sensible" Joseph de Maistre.
"Aucune nation n'est destinée par la nature à être sujette d'une autre". Joseph de Maistre.
Louis XVI aurait été vu comme un roi-chevalier et vainqueur, un chef incontesté, ce qui aurait pu mettre à la révolution.
Pensez vous que Napoléon Ier régna avec des idées révolutionnairs ou malgré ces idées?
S'il suffisait de gouverner seulement avec les idées révolutionnaires, ils n'auraient certainement pas fait son sacre.
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Oh voyez-vous, c'est à mon avis beaucoup plus simple: Napoléon a régné en détournant les idées révolutionnaires à son profit; c'est d'ailleurs ce qui est intéressant, avec l'idéologie révolutionnaire: n'importe qui peut les utiliser pour se "légitimer" devant le peuple en prétendant être à leur service; Peu importe le decorum monarchique que Napoléon a déployé pour se légitimer à ses propres yeux: la force à l'oeuvre dans le règne Napoléonien est clairement révolutionnaire; avec lui, c'est l'achèvement de la Révolution par la fin des désordres qui l'eussent conduite de son propre fait à l'auto-destruction.
Minervalis- Vicomte
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Localisation : Lutèce
Affinités politiques : Anti-républicain, Anti-démocrate, Anti-parlementaire, Réactionnaire, Contre-Révolutionnaire
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Je suis d'accord, mais bon, il a été sacré par la grâce de Dieu et des lois d la république et a épousé une Habsbourg.
Il a quand même compris qu'il ne pouvait pas se légitimer 100% seulement avec les idées révolutionnaires.
Il a quand même compris qu'il ne pouvait pas se légitimer 100% seulement avec les idées révolutionnaires.
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Il se trouve qu'il n'y avait évidemment pas besoin de définir le royalisme aussi précisément qu'aujourd'hui, en un temps où l'autorité du roi et l'institution monarchique, non écrite, allaient de soi. Aujourd'hui, face aux attaques des républicains, des bonapartistes et des orléanistes, il faut bien que les royalistes traditionnels établissent et rappellent que la civilisation française ne peut survivre et demeurer en tant que telle que si subsistent quelques principes fondamentaux, sans quoi on n'a plus un roi de France mais un roi de n'importe quoi.Partisan_Blanc a écrit:Alors être royaliste est ce être idéologue?
Je suis tout à fait d'accord avec le point de vue de Minvervalis, mais j'ajouterai que Partisan_Blanc peut difficilement s'y rallier tout à fait puisque l'orléanisme est une branche cousine du bonapartisme ; des républiques à couronne, qui n'abusent que ceux qui se contentent de la forme sans s'intéresser à l'âme.
Dernière édition par Mickaelus le Mar 16 Juin 2009, 16:13, édité 1 fois
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Décidemment vous avez une dent contre ces fameux "bonapartistes"!Mickaelus a écrit:Aujourd'hui, face aux attaques des républicains, des bonapartistes, des orléanistes et des bonapartistes
V.F.H.78- Vicomte
-
Nombre de messages : 813
Age : 44
Localisation : Poissy (78)
Affinités politiques : Royaliste légitimiste
Re: Quand Sarkozy snobe Elizabeth II
Merci de m'avoir signalé cette faute de frappe, cela arrive surtout quand on est presque tout seul à défendre sa pensée sur un forum.
Pour vous répondre, pas spécialement, j'en ai surtout une contre les gens qui se déclarent royalistes et qui ont exactement les mêmes principes politiques que les bonapartistes. C'est tout.
Pour vous répondre, pas spécialement, j'en ai surtout une contre les gens qui se déclarent royalistes et qui ont exactement les mêmes principes politiques que les bonapartistes. C'est tout.
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